Résumé
Introduction. Un des mécanismes généraux et communs, pour la plupart des préparas antimicrobiens, c’est l’introduction du stress oxydatif dans les cellules pathogènes, exprimé par l’accumulation en excès des radicaux libres, médiateurs de l’entier spectre classique de mécanismes d’action antimicrobienne, observés par les chercheurs. Ainsi, la réalisation d’une étude est devenue opportune, afin d’élucider certaines modifications de nature biochimique, reflétant le statut antioxydant des microorganismes pathogènes sous l’action de nouveaux composés chimiques sélectés.
Matériel et méthodes. En qualité d’objet d’étude en vitro ont servi les composés additifs de Cu (II), Co (II), Zn (II) et les propenones aromatiques, synthétisés au sein du département de chimie inorganique de l’Université d’Etat de Moldavie. Les effets antimicrobiens ont été vérifiés sur 5 souches de référence. Pour la détermination de l’activité antioxydante, on a appliqué le test ABTS, qui établit la capacité antioxydante totale, avec l’utilisation du radical cation ABTS ̇ +.
Résultats. Les plus vulnérables, du point de vue de l’installation du stress oxydatif d’haute pression, en sont les cultures de référence Staphylococcus aureus ATCC 2592 et Bacillus cereus ГИСК8035, la plus résistante en étant la culture de référence Salmonella enterica (S. Abony ГИСК03/03y).
Conclusions. Suite à l’analyse des résultats présentés ci-dessus, on peut affirmer que, sous l’action des composés sélectés, une réduction substantielle de la capacité antioxydante totale a lieu dans les cultures de référence étudiées.
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