Dialdéhyde malonique – un potentiel marker de la toxicité des nanoparticules dans le milieu aquatique

Résumé

Introduction. Les nanoparticules peuvent constituer un danger réel pour la santé publique, suite à l’augmentation de la production et de leur diffusion dans le milieu environnement. Jusqu’au présent, les données de toxicité des nanoparticules, prélevés à l’aide des modèles et des méthodes traditionnels, sont toutes contradictoires et inconsistantes. Le repérage des méthodes et des markers significatifs de la toxicité des nanoparticules représente une tendance actuelle dans le plan des recherches.   

Matériaux et méthodes. En tant qu’objet d’étude a été choisie la souche de la microalgue rouge Porphyridium cruentum CNM-AR-01, connue pour ses qualités de productrice de lipides. On a testé l’effet toxique des nanoparticules de CdSe (3-7 nm), ZnSe (40 nm) et ZnS (30-35 nm). La quantité de dialdéhyde malonique a été déterminée en base des substances réactives de l’acide thiobarbiturique. 

Résultats. Un relation étroite a été établie entre la quantité de biomasse et la quantité de dialdéhyde malonique dans les cellules de la microalgue rouge Porphyridium cruentum pour les domaines de concentrations de nanoparticules ayant un effet toxique sur l’objet étudié.

Conclusions. La dialdéhyde malonique peut être considérée un marker de la toxicité des nanoparticules.

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