Résumé
Introduction. Au niveau mondial, on enregistre annuellement environ 20 millions de cas de HVE, dont 3,3 millions en présentent de cas symptomatiques d’hépatite acute E. L’OMS estime que la HVE ait provoqué environ 44.000 de décès en 2015, ce que constitue 3,3% de la mortalité provoquée par les hépatites virales.
Matériaux et méthodes. Au seine de cette études, on a analysé 75 sources bibliographiques. En tant que sources nous ont servi les plateformes scientifiques Embase, PubMed, Hinari, les fonds des bibliothèques nationales, aussi que des documents de référence des organisations internationales en matière.
Résultats. Les recherches effectuées dans ce contexte, ont mis en évidence des aspects importants de l’infection causée par le virus de l’hépatite E. Une fois améliorées les conditions de vie et éliminé le facteur hydrique, en tant qu’agent de transmission de l’HVE, les pays développés, aussi que certains pays en cours de développement, se confrontent à des cas sporadiques d’HVE dans des groupes particuliers de population présentant un haut risque d’infection, il s’agit des personnes qui ont été ou sont encore embauchées près des entreprises de traitement de la viande de porcine et des bénéficiaires des transfusions de sang.
Conclusions. Les capacités de détection de cette infection dans plusieurs pays sont limitées juste à cause du fait que cette infection ne se retrouve pas dans les politiques et les programmes de surveillance et de contrôle. La solution des facteurs de risque, associés au procès épidémique, ferait possible la concrétisation et l’élaboration des mesures adéquates, fondées sur les preuves visant l’optimisation du système de surveillance et contrôle, en vue de réduire le risque de contractation de l’HVE et de maintenir une situation épidémiologique favorable.
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